diaboliques

*arrive avec son amie et attend et roi après lui avoir fit envoyer une missive*

_ je vous fait confiance madame...

*Philippe frappa à la porte et entra dans les appartements de sa femme.*

- Me voici Madame, que désirez-vous me dire ?

*Regarde Mme de Montespan*

- Oh bonjour Madame, comment allez-vous ?

*le laisse regarder la montespan et fait mine d'être désolée*

_ pardonnez-moi madame, mais je ne puis le retenir plus longtemps.

*regarde son mari*

_ Vous m'avez blessée aujourd'hui, philippe. Et vous venez ici l'air de rien. Alors si une petite faveur que je vous demande doit causer ce genre de dispute, laissez tomber ! Je n'ai pas besoin de cette robe et encore moins pour un mari qui se moque de moi !

*a suivit marie-Thérèse d'Espagne dans ses appartements*

*le regarde*

- je vous confirme madame, je n'ai qu'une parole !

*le Roi entre, lui fait la révérence*

*se redresse et ui sourit gracieuse, renrte déjà dans le jeu de la Courtisane*

- Bien votre Majesté,je vous remercie de vous en inquiéter !

*se tourne vers elle et fait semblent d'e^tre compréhensive, se retourne vers la fenêtre afin de ne pas se montrer indiscrète, écoute le moindre mot échangé*

*Philippe ne comprenait pas pourquoi sa femme lui demanda de venir pour tout de suite le disputer.*

*Il la regarda *

- Non mais vous n'allez pas bien, d'abord vous venez dans mon bureau et vous vous asseyez dessus pour me demander une faveur, qu'un de mes mousquetaires aille réceptionner votre robe, le pauvre malheureux se serait certainement demandé ce qu'il a fait pour mériter cela, et lorsque par faiblesse, et par désir de vous être agréable, je vous l'accorde, vous voulez me remercier d'une telle façon que j'ai pitié de vous voir ainsi telle une.......non je ne dirais même pas le mot, mais vous voyez ce que je veux dire. Je vous repousse doucement, et vous n'êtes pas contente alors vous insistez, et maintenant vous me faites venir dans vos appartements, alors que, soit dit en passant, j'ai d'autre chose à faire, enfin bref, vous me faite venir pour me sermonner. Je ne sais pas à quoi tout cela rime Madame, mais ce n'est pas parce que vous êtes ma femme, que vous pouvez tout vous permettre.

*Il s'approcha d'elle *

- Sachez qu'une femme cela se répudie.

*Philippe était au comble de la colère*

- Maintenant si vous avez fini vos caprices, je vais peut-être pouvoir aller travailler tranquillement.

*l'écoute, est presque choquée par sa dureté*

*n'ose intervenir et n'ose imaginer le comportement qu'elle a pu avoir pour le mettre dasn une telle rogne*

*se demande si il ne s'agirait pas d'une opportunité à saisir pour devenir favorite de sa majesté et s'assurer ainsi un avenir loin de son mari et sous la protection de quelqu'un de pllus influent que lui*

*se fait calculatrice, voir manipulatrice*

*les larmes aux yeux, sincèrement interdie*
*encaisse les paroles une à unes et n'y tient plus, elle le gifle*

_ Qu'elle soit ma part de responsabilié, monsieur, vous navez pas le droit de me parler ainsi...

*va pour partir*

*se retourne au bruit de la gifle, stupéfaite*

*inquiète pour se qui risque de se passer, se demande si marie-thérèse avait prévu que cela se passe ainsi*

*regarde le roi*

hj non pas du tout mdr Mais je vois que tu es amibitiseuse mdr d'où mon titre ! au pluriel...

*Se prend la gifle*

*Fou de colère*

*Attrape Marie-Thérèse par le bras*

*La regarde furieux*

- Je vous déteste, après ce que vous venez de faire, vous pourriez tout aussi bien rentrer en Espagne car je ne vous toucherais jamais et ne vous adresserais plus jamais la parole, vous n'existez plus pour moi. Vous pouvez vous plaindre à qui vous voulez, ce n'est pas mon problème.

*Regarde Madame de Montespan.*

- Au revoir Madame, navré que vous ayé assisté à tout cela.

*Regarde furieusement sa femme une dernière fois, et sort en claquant la porte.*

*Part se calmer dans les jardins*

*n'arrive pas à y croire*
*s'enfuie à son tour*

*attérée*

*se précipite vers marie-thérèse*

- Madame, dites-moi quelque chose, je vous en prie ! Que puis-je faire pour vous aider à présent !

*a pitié d'elle, ne comprend pas la violence du Roi

*effarée*

_ Rien ! Il n'y a rien à faire !

*s'en va*

*perdue*

*lui crit*

- Et ma promesse, Madame, que dois-je faire de ma promesse ?